Adieu belle Chanoinesse, car telle je Vous ai vúe la derniere fois, telle je Vous reverrai un jour si non dans ce monde pourtant dans un autre. Soyez toujours aussi parfaitement heureuse que Vous serez adorée de moi et n’allez pas Vous imaginer qu’on peut etre malheureux avec des sentimens pareils pour Vous.
Lenz
au jour de Votre nom le 15 de Juillet 1776.
j’espere de revenir
Nimmermehr an sie
zu schreiben
wo möglich alle Gelegenheiten zu vermeiden sie zu sehen
weil ich mir nicht trauen darf gelobe ich Gott.