Votre Altesse dans sa derniere a parú vouloir m’exiler de Weymar pour un plus long tems encore. J’ ai obei. Je la remercie de la
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lettre dont Elle a daignée m’adoucir cette peine. J’y vois des lueurs d’esperance qu’Elle ne quittera pas un projet dont l’ execution fera le plus sensible charme de ma vie. Non obstant les doutes que Mr. de Ein-3
siedel m’ ait exites sur ce sujet; en regardant l’ adorable